Face au vacarme du présent, Jann Gallois propose une autre voie : six femmes unissent leurs souffles et tissent une danse hypnotique, vibrante, où les murmures deviennent mugissements. Dans ce rituel d’un genre nouveau, la douceur devient force, la lenteur un cri. Le sextet avance comme une vague chorégraphique réparatrice : une synergie de corps...
En écho à 𝘗𝘰𝘴𝘵 𝘖𝘳𝘪𝘦𝘯𝘵𝘢𝘭𝘪𝘴𝘵 𝘌𝘹𝘱𝘳𝘦𝘴𝘴 d’Eun-Me Ahn, la Scène nationale propose une Conversation sur la diversité des cultures asiatiques et leur expression scénique. Cette rencontre vise à déconstruire le regard orientaliste et ses stéréotypes, et à questionner la place des artistes asiatiques dans le spectacle vivant en France. Plus d'informations 👉 https://festival-trajectoires.com/deconstruire-les-identites-asiatiques-sur-scene/ https://www.facebook.com/events/2393392067758896/
Deux musicien·nes, deux danseur·euses, deux performances, une scène. Rien d’écrit, tout naît dans l’instant. Leur rencontre est une session improvisée, où le rythme s’invente – dans le son, dans le silence, dans le mouvement. Entre retenue et lâcher-prise, subtilité et amplitude, la même sève circule des notes aux gestes : l’improvisation.𝗘𝗻 𝗰𝗼𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗣𝗮𝗻𝗻𝗼𝗻𝗶𝗰𝗮.https://www.facebook.com/events/847279544749079/
Envie d’un petit échauffement physique avant un spectacle de Trajectoires ? Selon une approche kinesthésique, appuyons-nous sur l’histoire de la représentation du corps en mouvement dans l’histoire de l’art, pour se mettre nous aussi en mouvement devant 𝘓𝘢 𝘝𝘦́𝘯𝘶𝘴 𝘥𝘦 𝘔𝘪𝘭𝘰, 𝘓𝘢 𝘊𝘢𝘮𝘢𝘳𝘨𝘰 peinte par Lancret ou encore 𝘓𝘦 𝘭𝘢𝘯𝘤𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘥𝘦 𝘧𝘪𝘭𝘦𝘵 de Suzanne Valadon....
Avec 𝘗𝘰𝘴𝘵 𝘖𝘳𝘪𝘦𝘯𝘵𝘢𝘭𝘪𝘴𝘵 𝘌𝘹𝘱𝘳𝘦𝘴𝘴, Eun-Me Ahn livre une relecture jouissive des fantasmes orientalistes. Danses, légendes, pop culture et traditions d’Asie sont détournées jusqu’à l’absurde pour inventer un langage commun entre Orient et Occident. Costumes, gestes et musiques explosent en un carnaval participatif qui questionne clichés, post-colonialisme et nationalismes avec humour et éclat. 𝘿𝙅 𝙨𝙚𝙩 𝙥𝙚𝙣𝙨𝙚́...
Sur scène, deux corps, des objets, un écran : 𝘔𝘖𝘚 transforme la performance en laboratoire chorégraphique. Ils rejouent en direct bruitages et musiques de film. Noix de coco, paille ou outils numériques deviennent instruments. Une danse du son, entre archives, improvisation et magie des coulisses du cinéma. https://www.facebook.com/events/4034205636842149/
Piégée dans un cocon sculptural, la danseuse ukrainienne Rita Lira explore l’isolement intérieur. Drapée dans une seconde peau signée Louise Carton, elle alterne lutte et relâchement, tend et détend les liens qui la contraignent. Un solo entre tension et tentative d’évasion, qui questionne l’enfermement, le souffle, et l’issue possible. 𝙈𝙖𝙣𝙞𝙛𝙚𝙨𝙩𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙤𝙧𝙜𝙖𝙣𝙞𝙨𝙚́𝙚 𝙙𝙖𝙣𝙨 𝙡𝙚 𝙘𝙖𝙙𝙧𝙚 𝙙𝙪...
