Le titre joue souvent le rôle de point de départ. Il est une référence autour de laquelle je tourne durant le processus comme pour découvrir toutes ses significations.
Labourer m’évoque une ramification d’interprétations diverses parfois même contradictoires qui semblent pourtant faire écho les unes avec les autres.
La mécanique, la croissance des végétaux, les cycles, la répétition, le continu et le discontinu, sont autant de mouvements à la fois rythmiques et organiques, humains et non-humains qui troublent la distinction supposée fondamentale entre nature et culture.