Concerts Shot Brass Tower / Tramble / Moustache Museum

Pas 1, pas 2 mais 3 concerts en ce dernier vendredi de juin!
Fanfare style News-Orléans, suivie d’une douce pop un rien décalée, pour terminer la soirée par un rock-folk des grands espaces!

Entrée prix libre
Ouverture du café associatif 19h
Pas de restauration sur place

🎵 Shot Brass Tower (brass band amateur – Couëron) 🎵
Un Brass-band bigarré qui revisite avec bonne humeur et générosité le répertoire des fanfares de la Nouvelle Orléans : ses 12 musiciens concoctent entre Nantes et Pornic un groove festif et spontané sur les traces du Rebirth Brass Band, du Hot Eight ou du Youngblood Brass Band.

https://www.facebook.com/ShotBrassTower/?locale=fr_FR

🎵 Tramble (pop – Machecoul) 🎵
S’échapper et revenir. On pourrait parler en ces termes de la musiquede Tramble, projet solo du nantais Fred Lambert.
S’échapper de Moustache Museumet Rum Tum Tiddles, groupes dans lesquels il évolue depuis une quinzaine d’années désormais, pour mieux revenir à un besoin essentiel, celui de
composer, encore et toujours.
S’échapper aux Etats-Unis, pour y cultiver sa passion pour la musique américaine, celle des grandsespaces désertiques de l’ouest, celles de ses héros Calexico et Howe Gelb puis revenir à ses racines, enrichi de belles expériences.
S’échapper aussi de ses premiers amours country-folk pour affirmer un songwriting mêlant pop bricolée et psychédélisme éthéré, point de rencontre entre la douceur entêtante d’un Kevin Morby, d’un Dominique A ou d’une Courtney Barnett et les rêveries délicates issues de son univers graphique.
Tramble s’échappe, mais Tramble finit toujours par revenir.

tramble.bandcamp.com
https://www.facebook.com/tramblefred?locale=fr_FR
https://www.instagram.com/fredtramble/?hl=fr

🎵 Moustache Museum (rock-folk) 🎵
« Le coeur de Moustache Museum est à l’ouest. L’ouest de la France autant que l’ouest Américain, et ce dès le début d’un parcours entamé en 2010 et désormais jalonné de 4 EP.
Pourtant si le coeur bat folk et country depuis l’origine de ce groupe de potes nantais, la tête, elle commence à pencher du côté d’un rock hybride mélangeant folk sudiste, pop orchestrale et blues psychédélique, le tout lorgnant aussi bien vers Jesse Sykes que chez Okkervil River ou Devotchka.
Overseas sorti en 2015 montrait déjà les prémices de cette évolution, mais surtout ceux d’une dualité poursuivie par Worlds End, le petit dernier : la simplicité de douces ballades nostalgiques opposées aux longues plages épiques d’un rock toutes guitares dehors.
La tête ? le coeur ? Mais pourquoi faire un choix au final ?
Moustache Museum s’épanouit aussi bien dans un registre faisant la part belle aux harmonies vocales, aux belles mélodies combinant flûte ou violon, tout autant que sur des morceaux plus complexes ou les guitares s’entremêlent de longues minutes dans d’incandescentes chevauchées.
La tête tourne, le coeur bat – un peu plus vite certes, un peu plus fort aussi – mais toujours à l’ouest, à la conquête de nouveaux territoires. »

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