3 800 groupes, 1 500 concerts, 250 000 spectateurs, Le Ferrailleur a 10 ans. Le club, ouvert alors que Miley Cirus portait encore une bague de pureté, est devenu une véritable institution pour tout fan de musique. Son propriétaire, Thomas Nedelec alias Thomasson, se prête au jeu du Plaisir Coupable.
Musicalement, j’ai un peu honte d’aimer Rihanna, mais de toute façon, j’écoute énormément de musiques différentes depuis que je tiens le Ferrailleur. Il y a 10 ans, quand le club était dédié au rock et au métal, je n’aurai jamais imaginé me prendre des claques en concert avec du hip-hop et de l’électro que j’écoute aujourd’hui chez moi. Même le rock que j’aime aujourd’hui est imprégné de ces influences. Si mon rêve est de faire venir At the Drive In au Ferrailleur, je fantasme de programmer Goldmen, un groupe de reprises de Jean-Jacques Goldman/ Le chanteur est son sosie, c’est incroyable ! Mais trop cher…
Si je devais avoir un plaisir inavouable, ce serait … l’aspirateur ! C’est la première chose que je fais quand je me lève le matin. Ce qu’il faut savoir, c’est que mon aspirateur est LE futur : sans fil, une charge de plus de 55 minutes, un cyclo système permettant une aspiration puissante, une maniabilité presque émouvante…et surtout des leds à l’avant générant une vision nocturne d’exception. LE BONHEUR !
Interview réalisée par PIERRE-FRANÇOIS CAILLAUD